Les changements vont trop vite mais ce n’était pas mieux avant. Antipodes n° 221, juin 2018

Présentation

L’étonnant visage du Sénégal
Y’en a marre au Sénégal... Marre de quoi ?

Très actif, le mouvement populaire Y’en a marre, qui a poussé le président Wade au départ en 2012, a des visés continentales. Propos de Fadel Barro recueillis par Lena Sarr
Les changements vont trop vite mais ce n’était pas mieux avant

Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication transforment les relations sociales et l’imaginaire collectif au Sénégal, propos d’Ibou recueillis par Jean Claude Mullens
Naître femme au Sénégal

Si je pouvais choisir, je naitrais homme au Sénégal et femme ailleurs. Propos de Fatou Touré recueillis par Antonio de la Fuente
Le Sénégal a échappé à la malédiction du pétrole... échappera-t-il à celle du gaz ?

Des multinationales s’emparent du gaz trouvé au large du Sénégal mettant en péril la pêche, le tourisme et le quotidien des populations, par Rachida Kabbouri
Le wolof dans la rue, le français à l’école

Le recul du français face au wolof rend la question pertinente : Le Sénégal est-il encore un pays francophone ?, par Olivier de Halleux
Le Sénégal par ses écrivains

Trois romanciers racontent la négritude, la langue, le conflit de cultures
Du Musée d’Afrique tropicale de 1863 au Dak’art 2018

De l’art traditionnel à l’art contemporain, l’évolution des arts sénégalais, par Pape Ass Mbengue
Dak’art 2018

Émancipation, liberté et responsabilité, c’est la devise de la 13e Biennale d’art contemporain africain de Dakar, par Tito Dupret
Les auteurs
Lena Sarr est journaliste à Dakar. Pape Ass Mbengue est chroniqueur culturel et artistique à Dakar. Olivier de Halleux travaille à la commune de Beauvechin, en Belgique. Tito Dupret es journaliste (...)